Le journal du réseau de 2000 à 2004

La suite du récit ... 
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2000: Pose de la voie
J'avais déjà des chutes de contreplaqué de 500x500mm, ce qui fait que tout naturellement j'en ai récupéré une planche pour construire mon module d'angle (annexe traction). Grosse erreur. Ma courbe de voie dans l'angle fait 1 mètre de rayon, ce qui fait que je me retrouve dans l'obligation d'effectuer mes raccords de voies en courbe. La galère !
Second conseil: effectuer, autant que faire se peut, les raccords de voies en ligne droite.
La pose de la voie est finalement longue surtout au niveau du câblage électrique qui va de paire.
Troisième conseil: effectuer toutes les simulations possibles de votre réseau sur papier afin de vérifier que le plan de voie est correct et en déduire tout le câblage électrique qui en découle (coupures, ...). Lorsque tout est posé et qu'il faut refaire c'est toujours délicat.
Après pose temporaire de la voie (fixation par des épingles sur quelques traverses), je me suis lancé dans une vaste campagne de test avec le matériel roulant. J'ai découvert ainsi quelques fautes impardonnables.
Quatrième conseil: ne pas poser la voie définitivement dès le début et tester l'ensemble avant pose définitive.

2001: Extension du réseau
Mon premier module de pleine voie n'occupant que la moitié du mur (avec un arrêt brutal de la voie), je me décide à construire le module de complément ainsi que celui de stockage à deux voies (derrière la bibliothèque).
La pose de la voie est terminée, la câblage est au point, les locos tournent sans problème, tout va pour le mieux mais ... le ras le bol général s'installe en pensant encore à tout ce qui reste à faire pour terminer.
Cinquième conseil: surtout ne pas persister et attendre que ça passe.
Voilà l'hiver qui revient, les soirées bien au chaud, Noël qui va revenir ... sûr que ça va repartir !
Octobre: Fiston à la traction et papa à la composition des rames, nous avons passé un super dimanche avec des locos et des wagons partout.
Ceci nous a permis de mettre en évidence le problème du retour des rames vers la gare. La coulisse de stockage derrière la bibliothèque est bien pratique pour stocker les autorails et les rames réversibles mais remettre une machine en tête n'est vraiment pas pratique car l'accès est difficile et la visibilité restreinte.
L'extrémité de pleine voie, juste avant la coulisse de la bibliothèque comporte une bifurcation. Cette dernière avait été pensée dans l'hypothèse d'une extension au réseau (modules, circuit bouclé, ...).
Encore une fois je souhaite privilégier le côté rapide et pratique. Si les manoeuvres de retournement en gare sont intéressantes, en coulisse elles n'ont que peu d'intérêt.
Un module de retournement est d'une grande longueur, et le rayon de courbe me parait insuffisant. Je m'oriente donc vers une solution à base de plateau tournant pouvant accueillir trois voies.
Ainsi lorsqu'une rame arrive il suffit ensuite de retourner l'ensemble, et sans aucune manoeuvre le train peut repartir.
Si un autre convoi est déjà sur la plaque, on peut le faire partir à la place de celui qui vient d'arriver, alternant ainsi les compositions.
La plaque ne fera que quelques centimètres de large (accueil de trois voies) pour une longueur proche du quai le plus long de la gare. L'ensemble d'un gabarit modeste peut facilement être rangé sur le haut de la bibliothèque.
Prochaine étape, la construction de cette plaque tournante.
Novembre: pas de construction mais une intense activité informatique avec une refonte complète de ma base de données pour enfin trouver ce que je cherche sans être obligé de relire systématiquement toutes les revues pour y retrouver l'article recherché. Avec le stockage de tous les articles intéressants en N et HO et la création de fiches thématiques, je devrais maintenant gagner du temps. La recherche d'articles traitant du stockage du fuel est à l'origine de cette crise de mauvaise humeur.
Tant qu'à faire, j'ai également totalement revue et repensé mon futur site intranet dans le même ordre d'idée (fiches thématiques, astuces, sites internet, ...)

2002: On efface tout, on recommence
Un fossé sépare souvent les prévisions de la réalité et ce fut le cas pour mes projets ferroviphiles.
A cela deux raisons: une mûrement réfléchi et une autre liée à un facteur indépendant de ma volonté (quoique ...).
Pour la première, j'ai remis à plus tard la mise en chantier d'un plateau tournant et privilégié la création d'un autre module d'extrémité. En effet, il me restait une surface disponible d'une longueur de 1 mètre 55 après la coulisse de stockage derrière la bibliothèque. Ceci va nous permettre de jouer vraiment à deux avec l'envoi et la réception de diverses compositions de trains de la gare terminus vers ce module d'extrémité et vice-versa.
La première idée qui me vint à l'esprit fut bien évidemment d'utiliser ce module en tant que gare terminus, mais encore une fois la largeur est limitée et ce sera encore une gare de plus.
A l'origine de tous mes projets, je voulais représenter la gare de Baud. Cette dernière possède un EP vers un site céréalier, et dès le début, dans la perspective de le réaliser un jour en modèle réduit, j'ai collectionné les modèles de wagons céréaliers.
J'en possède donc aujourd'hui un parc important, et ce nouveau module pourrait bien être utilisé pour représenter un EP céréalier et en même temps avoir un plan de voie qui peut permettre le retournement des convois avec remise en tête des locomotives. Cette fois il n'y aura pas de pont tournant pour les vapeurs, mais bon ..., on ne retourne pas non plus un train en pleine campagne, alors ...
Petit bonus, je peux quand même faire poursuivre mes trains au delà de ce module si je le souhaite car juste après se trouve un placard qui couvre toute la largeur du bureau. Moyennant une petite ouverture, style entrée de tunnel, je peux y faire pénétrer la voie puis y aménager une grande coulisse de stockage. En continuant ainsi je pourrai bientôt faire le tour de la pièce !
Mais nous n'en sommes pas encore là ....
A partir d'une petite compilation de documents sur le sujet des sites céréaliers, de mes impératifs de retournement de trains (longueur au moins égale à celle du quai de ma gare terminus) et de mon encombrement maximum autorisé, j'ai élaboré, testé et validé mon plan de voie sur le papier.
Dans le même temps j'ai construit la menuiserie du module. A ce jour je n'ai plus qu'à poser les voies.
La seconde raison à venir contrarier mes projets est plus fâcheuse et m'a stoppé dans mon élan de poursuite du réseau.
Je l'avais pressenti, les raccords de module en courbe sont à bannir. Au moment ou j'allais commencer le décor, et en l'occurrence la pose du ballast, je me suis trouvé dans l'obligation de désolidariser mes modules. Bien qu'ayant pris soin de renforcer la rigidité des voies au niveau des interfaces, ces dernières avaient une fâcheuse tendance à ne plus vouloir conserver la belle forme courbe que je leur avait donné.
Finalement dans ce que j'avais fait jusqu'à présent beaucoup de chose ne me plaisais pas: soudure des fils d'alimentation sur le flanc des voies, pas de réalimentation des pointes de coeur, quelques raccords de voies pas très fins, des sections d'isolement à modifier ,etc ...
Revoir tout cela c'était quasiment tout reprendre du début, mais quelques semaines de travail valaient bien ma tranquillité pour plusieurs années. Alors ...
Je me suis donc attelé au travail pour tout refaire (soudure des fils d'alimentation par le dessous des voies, réalimentation des pointes de coeur, revue complète des raccords de voies et des sections d'isolement, sans oublier la modification de la menuiserie pour permettre les interfaces de modules en ligne droite).
Nous somme le 14 novembre 2002, le travail de correction est terminé, il me reste à tester l'ensemble avec quelques convois pour valider le tout.
Pour cette année encore le décor n'aura pas avancé et je voudrais maintenant en finir totalement avec la pose de la voie sur le dernier module d'extrémité. Le réseau sera alors presque complet et on pourra déjà l'exploiter en l'état.
2003 sera sans doute l'année du décor, mais entre les prévisions et la réalité ...

2003: Ce n'est pas encore l'année du décor !
Pose de la voie et du cablage électrique complet sur l'EP céréalier. Cette fois avec l'expérience, j'ai réussi du premier coup !
Le relief est trop plat, un peu comme une gare, il me faudra ajouter un peu de creux et de bosses.
Maintenant on peut effectivement envoyer et recevoir des convois à chaque extrémité du réseau. Chaque extrémité étant indépendante électriquement (mais on peut aussi les rendre solidaires en basculant un simple interrupteur lors de l'envoi d'un train vers l'autre extrémité par exemple) on peut jouer à deux, séparément, ou en commun.
Pour varier les plaisirs j'ai commencé à construire un tas de petits kits (tracteurs, camions, autocar, ...) acquis au cours des années.
De la même façon je termine la construction intégrale de quelques wagons (céréalier, désherbeur, chaudière) commencé il y a bien longtemps et jamais terminé.
Pour résumer je commence tout et ne termine rien, ça traîne partout dans les placards, il faut que celà cesse !
Idem pour le pont tournant de l'annexe traction. Il est opérationnelle depuis longtemps mais il n'est pas peint, il lui manque les rambardes et tous les petits détails de superdétaillage.
Quand tous ces modèles seront terminés, il faudra les peindre, certainement à l'aérographe, et là encore en appartenant à un club on aurait pu me montrer et éviter l'angoisse d'avoir passé tant d'heures à construire pour tout saboter lors de la mise en peinture. Je vais peut-être rester au pinceau moi !
Justement, je viens de terminer mon wagon déserherbeur et fais une tentative de mise en peinture au pinceau. La catastrophe ! La peinture n'était pas assez fluide, le pinceau semble t'il mal adapté. C'est un fiasco, je m'arrête à la première couche et finalement je vais m'entraîner à l'aérographe c'est plus sûr. La décision est prise, il me reste juste un détail à règler: trouver le budget pour acheter l'aérographe ! ...
Voilà arrivé la fin de l'année (déjà !). Traditionnellement aux vacances de Noel, avec le fiston, on sort tout des boîtes et on joue au train. Cette année n'a pas failli à la règle et on s'en est donné à coeur joie. C'est dans ces moments d'exploitation intense que l'on constate les points d'amélioration à apporter car même après plusieurs mois de service il reste des choses à faire.
Premier point, il est évident qu'il faut un système de retournement rapide des longues rames et notamment celles tractées par une locomotive vapeur (si on doit assurer seul l'exploitation, c'est assez pratique). Il manque également un lieu de stockage des trains afin de faire varier l'alternance des compositions . J'avais envisagé une solution à base de plateau tournant car l'encombrement de stockage du module est minimum mais dans la mesure ou je possède de la place, un module de retournement avec stockage et mise en voie est peut être préférable. A voir ...
Second point, Sur les quinze aiguillages du réseau, j'ai un problème de continuité électrique sur deux d'entre eux. Ce sont tous des Peco Electofrog qui fonctionnent sans problème alors pourquoi ces deux là ?! Le contact des lames s'opère bien contre le rail mais le courant ne passe pas. C'est comme si un isolant était présent, et même après nettoyage rien n'y fait. Heureusement, j'avais anticipé, les coeurs d'aiguilles sont pré-cablés, il me reste juste à trouver le système pour assurer la commutation du coeur avec la position des lames (Jean-Louis Simonet, sur le site de Ptitrain, y a décrit une solution interressante).
Ça y est, après plusieurs essais, je suis parvenu à trouver une solution relativement simple et très peu onéreuse. Les aiguillages sont commandés manuellement par un système de tringlerie qui agit simultanément sur un interrupteur pour fournir la bonne tension au coeur d'aiguille. Si j'avais bien anticipé au niveau électrique, je me suis totalement trompé au niveau mécanique et de l'implantation. En effet, j'ai posé la voie sans tenir compte de l'infrastructure des caissons et j'ai cablé les rails sans tenir compte du fait que les fils pouvaient ensuite poser un problème pour la mise en place des commandes d'aiguillage. Je perds un temps fou pour décabler et replacer les fils qui gènent et il faut revoir la menuiserie dans certains cas afin de pouvoir obtenir la place suffisante pour intégrer le système de commande des aiguillages. Encore une fois, à ne pas avoir pensé avant à ce genre de problème, le plaisir se transforme en galère. La pose de la voie est un élément fondamentale qui va au delà du simple tracé initial et l'infrastructure doit s'adapter aux exigences de la voie. Il faut penser à tout dès le départ ! Maintenant je le saurai, ce qui m'évitera de passer de longues heures à pester et trouver des trésors d'actuces et de bidouilles (qui vont engendrer des dysfonctionnements, sans parler de la maintenance future qui sera forcément plus compliquée) pour que ça marche. Pour éviter de commettre à nouveau ce genre d'erreur je mets tout ça au propre dans une petite fiche afin de capitaliser sur la chose.
Autre erreur (décidément !), fidèle à ce que j'avais énoncé dès le début j'ai disposé les interrupteurs en face avant au droit des zones de coupure d'alimentation. Après plusieurs mois d'exploitation (il faut du temps parfois pour mettre à jour un problème) nous nous sommes rendu compte que celà ne rendait pas la chose aisée à utiliser. J'ai donc regroupé (toujours en face avant) sur un TCO tous les interrupteurs de coupure. C'est mieux ! Au départ le principe de l'interrupteur au droit de la zone à couper avait été retenu car le cablage était simplifié au maximum (pas de connexion entre les modules, chacun étant indépendant). Finalement il est préférable de passer un peu plus de temps au départ et créer les interfaces entres les modules pour être tranquille ensuite.
J'ai acheté le kit du batiment céréalier de Cornerstone pour mon module d'EP céréalier. Au travers des photos parues dans la presse, tout le monde achète et assemble le même. Pour éviter d'en faire un de plus je vais partir de la réalité et utiliser les pièces du kit comme fournitures. Le batiment reproduit sera celui de Longjumeau (c'est en région parisienne mais c'est sur la route de la Bretagne !). Il est complet, n'est pas desservi par le rail et d'un encombrement plutôt modeste.
L'année 2004 sera une année bien chargée si je veux mener à bien tout ce qui est entrepris et tout ce qui est en projet. Pour l'instant le moral du modeste "modéliste" que je suis est au beau fixe, pourvu que ça dure !

2004:
Avant de poursuivre mon REVE plus loin, je me ménage une petite pause pour mettre au propre, sur des pages html, tout ce que j'ai appris depuis le début de mon aventure afin de l'utiliser comme aide mémoire et le faire partager à toutes celles et à tous ceux qui comme moi font leur premiers pas dans le modélisme ferrovaire.
Avec cette nouvelle année, je vais également prendre un nouveau tournant dans ma façon de considérer la chose ferroviaire. En effet je pense qu'en étant trop puriste on s'enferme dans un carcan, et en N on peut attendre plusieurs dizaines d'années avant de voir LE modèle attendu pour l'époque et le lieu.
Je vais donc ajouter un peu de fantaisie dans ma passion ce qui va me permettre d'étoffer rapidement mon parc et surtout de me donner les moyens de sélectionner des engins moteur réputés pour leur sûreté de fonctionnement ou tout simplement parce qu'ils me plaisent. Un petit coup de peinture, une bonne raison de justifier leur présence sur le réseau et le tour est joué ! (Dans le Loco Revue de décembre 2002, Jacques Boileau l'a bien compris depuis longtemps pour avoir accomodé la réalité à sa "sauce" avec une logique qui "tient la route". Merci à lui de m'avoir ouvert les yeux et de me permettre sans honte de faire circuler ma 040D Fleischmann sur le réseau.). Même si avec l'expérience on progresse dans sa passion il est bon de temps en temps de se rappeler que c'est d'abord un loisir pour se faire plaisir et non un passe temps sérieux, strict et ennuyeux.
Bon c'est pas tout ça mais j'ai encore onze aiguillages à cabler (ça c'est triste et ennuyeux !) si je veux enfin avoir la voie opérationnelle à 100 % avant de passer au décor. Pour mémoire, j'ai posé la première traverse en 2000 et c'est maintenant presque fini, on progresse donc !
Effectivement on progresse mais rien n'est jamais terminé car on découvre toujours un point que l'on peut améliorer ou corriger. Au départ ce qui devait être une vitrine de présentation de mon matériel s'est transformé en véritable réseau et inévitablement le plan de voie, volontairement simple au départ, mériterait quelques évolutions.
C'est toujours pendant les séances d'exploitation que l'on découvre les imperfections (ça fait au moins quatre fois que je le dis !) et finalement je me réjouis, quatre ans après la pose du premier coupon de rail, de ne pas avoir encore posé la voie définitivement (quatrième conseil de 2000 !). Il me reste deux points à traiter. Le retournement complet des trains, déjà détecté en 2003, et la pose d'une voie d'évitement en gare suite à l'ajout en 2002 du second module d'extrémité. Quel rapport me direz-vous !? En voici l'explication.
Ma transposition de la réalité prend forme grâce à la lecture d'un numéro de RMF portant sur la description d'un EP. Ce dernier est établi sur une ligne dont le trafic voyageur n'existe plus et où l'activité marchandise est limitée à la desserte de l'EP. Au delà, les voies existent toujours mais plus aucun train n'y circule.
En mode d'exploitation minimum, cet embranchement particulier sera donc mon module céréalier avec la voie d'extrémité sensée évoquer la continuité à destination de Pontivy.
En mode d'exploitation étendu, l'arrivée en gare de Baud depuis Pontivy s'effectue depuis le fameux (futur) module de retournement et oblige les convois de céréaliers à un rebroussement pour desservir l'EP dont la voie est cette fois en impasse.
Actuellement la gare comporte deux voies qui rendent possible la manoeuvre mais dans ce cas aucun autre train ne doit être présent à quai en même temps si on souhaite utiliser la même locomotice pour effectuer la remise en tête du convoi. Il existe bien une autre voie parallèle mais elle est en impasse. Avec l'ajout d'un aiguillage on pourrait éventuellement raccorder cette voie à celle de la gare, ce qui permettrait le rebroussement d'une part, et la possibilité d'avoir simultanément un autre train à quai d'autre part, tout en utilisant la même locomotive.
Pour résoudre le problème je suis donc obligé de modifier l'existant (c'est pas encore pour demain !). Grâce à cela j'augmente les capacités de jeu, sans cette évolution je reste dans la configuration actuelle qui n'est pas bloquante de toute façon puisque avec un train à quai et en utilisant une seconde locomotive l'exploitation reste possible.
Le module de retournement complet des trains, cette fois, devient indispensable. Indécis entre le plateau tournant, qui permet un retournement rapide et un stockage de plusieurs rames (mais qui oblige à réserver la place lors de son pivotement), et une boucle de retournement pratique mais encombrante avec un stockage limité de trains, j'ai finalement tranché grâce à un article de Loco Revue la coulisse coulissante !
Solution de tous les compromis : peu encombrante, capacité de stockage important, remise en tête des locomotives et recomposition des trains.
Première étape, la construction de cette coulisse, puis l'extension de la gare complètement optionnelle (la seule opération à mener est l'ajout d'un aiguillage en gare pour son utilisation le moment venu, si ça arrive un jour !).
Octobre. Toujours cette facheuse manie de changer mes plans et de modifier la théorie et la pratique. J'ai bien fais quelques travaux mais pas du tout ce que j'avais prévu :
    j'en ai terminé avec la fixation du réseau au mur (il manquait quelques points de consolidation)
    j'ai ajouté un petit module de 15 x 45 sur le mur de retour en bout du module de la halle. Sur celui-ci prendra place le village (un jour !)
    j'ai quand même réalisé les plan du module de retournement. y'a plus qu'à ...
Novembre. Je persiste et je signe dans le non respect de mon planning.Pour meubler mon E.P je me suis lancé dans la contruction de mon modeste complexe céréalier.
Côté acquisition de matériel, cette annéeje suis gâté : la CC72000 époque vapeur, les wagons céréaliers de Minitrix, ainsi que la rame de quatres wagons USI de LS-Models. Est-que ça bougerait enfin au 1/160 ? Revers de la médaille, va falloir augmenter les budgets ! ...
Avec le pont du 11 novembre j'en ai profité pour effectuer un gros travail sur les pages de mon futur site internet. J'avais déjà de nombreuses pages en vue d'une mise en ligne future sur le net, mais sans l'apport du support photographique c'était triste. Avec l'acquisition récente d'un appareil photo numérique je peux agrémenter l'ensemble en y ajoutant des clichés. Maintenant la structure du site est globalement au point, reste à rédiger et publier ...
Décembre, déjà, avec une petite visite à Expométrique. Cette année je suis resté sage en ne craquant pas pour le matériel roulant. Par contre je me suis équipé pour tous les produits de décor car je souhaite au moins faire les premiers pas dans ce domaine et terminer totalement un module.
Novice dans ce domaine, du moins du point de vue pratique, je vais d'abord démarrer prudemment en faisant quelques essais sur un micro-diorama.
Grâce à ma base de données maintenant bien au point je récupère immédiatement tous les articles traitant du sujet, il ne reste plus qu'à compiler les informations et se mettre au travail !
Première application de la mise en oeuvre de la base dès le départ puisque je veux faire figurer une petite avancée en bois au bord de la mare. En deux minutes je sais que cinq articles traitent du sujet. Un rapide coup d'oeil dans les numéros spécifiés et cinq minutes plus tard me voici avec l'article qui va me permettre de travailler. Je ne regrette vraiment pas d'avoir investi du temps dans la réalisation de cette base de connaissance.

La suite du récit ... 

Dernière mise à jour le 23/06/2007
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